Genre : roman feel good
Prix : 13,99€ ebook / 19,95€ broché
Résumé / synopsis
Zoe est une mère célibataire désespérée. Elle veut quitter Londres et construire une nouvelle vie avec son fils Hari. Entre le minuscule studio qu’elle peut à peine payer et les klaxons qui les empêchent de dormir, Zoe sent qu’elle est prête à exploser.
Sur un coup de tête, elle répond à une annonce pour un emploi de nounou dans les Highlands écossais. La description de poste demande une personne capable de s’occuper de trois » enfants surdoués « , dont deux se comportent comme des petits animaux sauvages. Le père, veuf, est une épave, et les enfants se déchaînent dans un immense château en ruine sur les rives jonchées de bruyère du Loch Ness.
Avec l’aide de Nina, la sympathique libraire locale, Zoe commence à s’enraciner dans la communauté. Les livres, l’air frais et la gentillesse seront-ils suffisants pour guérir cette famille brisée ?
Avis du chroniqueur
En dehors des manuscrits que je corrige dans la cadre du travail, c’est le premier feel good que je lis. Initialement, c’est un choix de lecture de ma fille, mais ça s’est terminé en lecture commune.
Nous avons passé un bon moment de lecture. Mais je ne m’attendais pas à ce que ce roman évoque des sujets aussi sérieux que l’abandon, la maladie et l’enfance difficile.
Le postulat de départ concerne Zoé, jeune maman célibataire qui s’est retrouvée enceinte alors qu’elle était étudiante. Le père de l’enfant préférant profiter de la vie, délaisse totalement la mère et l’enfant jusqu’à les laisser vivre dans un logement insalubre alors que lui mène la belle vie. Zoé devant quitter son logement qu’elle n’arrive plus à payer se retrouve aux confins de l’Écosse, à cumuler deux emplois. Le premier étant fille au pair auprès de trois enfants quelque peu perturbés.
Étant surnommée dès son arrivée « nounou numéro 7 », le désespoir la remplit aisément surtout lorsqu’elle découvre dans quelles conditions elle va devoir vivre avec son fils. Autant vous dire que son logement londonien lui manque un peu sur le coup !
Mais bien décidée à se refaire financièrement, elle ne va pas se laisser faire par une fratrie livrée à elle-même. Il faut dire que leur père se fait très rare, ainsi que le chauffage et l’argent pour couvrir les besoins du manoir.
En cumulant cet emploi avec celui de libraire ambulant, Zoé va petit à petit se faire des amis et pourra apporter ce qu’il manque tant à ces enfants : de l’attention et de l’amour. Quant à son fils, il va s’épanouir auprès d’enfants très dégourdis.
Finalement, les quelques 500 pages se tournent très vite et apportent leur lot de surprises.
C’est une très bonne lecture sans prise de tête. Évidemment, inutile de lire le tome précédent (que je n’ai pas lu puisque je ne connaissais pas l’auteure avant !). Les deux romans sont indépendants.
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