A l’occasion de la sortie de son nouveau roman « Traque en deux temps », Michel Cherchi nous a gentiment accordé une interview afin de nous donner plus d’informations au sujet de sa nouvelle œuvre.
Pourriez-vous en quelques lignes vous présenter et présenter votre parcours professionnel et littéraire ?
Né à Marseille, je suis arrivé sur Aix en Provence à 13 ans. C’est donc dans la belle Cité du Roy René que j’ai mené, pendant plus de 35 ans, une vie de commerçant. J’ai commencé par ouvrir un restaurant puis un pub, pour terminer avec une boite de nuit. J’ai trouvé mon équilibre jour/nuit dans la pratique du sport (tennis, volley, golf) au sein duquel j’ai noué quelques belles amitiés. En 2017, une mauvaise chute m’a cloué au lit. S’en est suivi 20 mois de rééducation. Comment occuper mes journées ? La réponse à cette question est venue naturellement ; j’ai mis mes idées sur mon ordinateur et, au bout de quelques mois, « Code Black out » a vu le jour. Mon premier livre était édité ! Le second, « Silåaree » lui a emboîté le pas un ans plus tard et aujourd’hui, c’est au tour de « Traque en deux temps », mon petit dernier. J’espère que les lecteurs se laisseront transporter par l’aventure.
D’où vient votre idée pour votre le personnage de Rob ?
Tout a commencé par une nuit blanche. Le genre de nuit ou votre cerveau est en ébullition. C’est au détour d’une énième gamberge que la première aventure de Rob Sterling est née. Le matin, je suis allé récupérer un vieil ordinateur chez mon père (je n’en avais jamais utilisé un jusqu’alors) et je me suis mis à taper l’histoire qui m’avait accompagné durant ma nuit.
Quels sont les passages de votre livre sont à vos yeux les plus importants ?
Pour moi, aucun passage n’est moins important qu’un autre ! Chaque lecteur trouvera ses propres moments préférés qui ne seront pas obligatoirement les mêmes que ceux d’un autre lecteur.
S’il y avait des critiques à faire sur cette œuvre, selon vous quelles seraient-elles ?
Peut-être le manque de description de la vie, des villes dans le futur ? Mais c’est un choix que j’assume. Je pense qu’ainsi on reste plus près du héros. Je préfère laisser l’imagination de chacun faire sa propre projection futuriste.
Y aura-t-il une suite aux aventures de Rob Sterling ?
Ce n’est pas impossible. D’autres idées sont déjà frémissantes. Je dois laisser mûrir tout ça.
Quel message voudriez-vous faire passer à vos lecteurs ?
Qu’ils réfléchissent à l’avenir, c’est aujourd’hui qu’on le construit.
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