Assassin’s Creed – Fragments – La Lame d’Aizu

Auteurs : Olivier Gay / Ubisoft

Genre :  Fiction historique / YA

Nombre de pages : 320

Où le trouver : Amazon

Prix : 10,99€ (ebook) / 15,95€ (broché) 

Format  : Ebook/Broché

Résumé / synopsis

« 1868. La guerre de Boshin est sur le point d’éclater.

Découvrez le premier roman haletant Assassin’s Creed Fragments, au cœur des derniers instants du Japon médiéval. »

Les Templiers, infiltrés parmi les conseillers les plus proches de l’Empereur, poussent le souverain à lancer une campagne contre le Shogun Tokugawa, lui-même soutenu par la Confrérie des Assassins. L’ère glorieuse des samouraïs toucherait-elle à sa fin ?

Jeune japonaise de 16 ans, Atsuko a grandi dans les quartiers aisés de la cité d’Aizu, dans l’ombre de son frère Ibuka. Promise à un mariage arrangé, la jeune fille cache un secret : elle manie aussi bien les armes que son frère, dont le talent au sabre masque en réalité une peur insurmontable du combat.

Lorsque la guerre est déclarée, Ibuka doit partir combattre aux côtés de leur père pour l’honneur de la famille. Défiant la tradition interdisant aux femmes de prendre part aux batailles et voulant protéger son frère, Atsuko s’enrôle en cachette en tant que simple soldat, désireuse de montrer l’étendue de ses talents.

Mais face aux manipulations et aux complots qui dépassent les deux adolescents, l’amour fraternel sera-t-il plus fort ? Plus fort que les convictions et l’honneur ?

Avis du chroniqueur

Ce roman est quasiment un coup de cœur ! L’un des meilleurs de la franchise Assassin’s Creed que j’ai pu lire jusqu’à aujourd’hui !

L’histoire va nous faire vivre l’une des grandes batailles mythiques qui marquèrent l’histoire, avec un nouveau point de vue qui est innovant et génial : celui de la présence de templiers et d’assassins au sein de ce conflit historique.

Retrouver les grands noms qui ont brillé durant cette ère guerrière était fantastique !

Le rythme est vraiment agréable et soutenu, j’ai été conquise dès les premiers chapitres. Suivre la jeune Atsuko sur le champ de bataille alors que les femmes n’y sont pas admises est très intéressant, beaucoup penseront d’ailleurs à Mulan, car les similitudes entre les deux œuvres se font échos, mais rien de plus. Il s’agit juste d’une jeune femme, qui se fera passer pour un homme en intégrant l’armée pour y suivre son frère.

Mais la tension dans ce roman est parfaitement dosée ! Les moments de répit sont vraiment rares et les batailles sont époustouflantes ! Pas de fioritures, ou d’explications trop complexes, même un non-initié à la langue japonaise pourra saisir et comprendre les termes qui sont utilisés ici grâce à un lexique en fin de chapitre. (samouraïs/daimyo/katana, etc.).

En tant que grande fan du Japon et de cette période médiévale, j’ai été prise par le roman au point de le dévorer en deux jours. Sachant d’ailleurs en avance l’issu de certaines situations, j’ai été agréablement surprise de voir comment l’auteur s’est adapté à ces faits historiques pour y intégrer la présence de la licence Assassin’s Creed. En toute honnête, c’est vraiment très bien fait, et cela ne dénature en aucun cas les événements qui ont eu lieu à cette période du Japon.

Yserei, du blog : Le Yurensei Chronicles